Lancement de La Vilaine

C’est aujourd’hui la sortie officielle de La Vilaine – revue dessinée en bande. Vous pourrez retrouver les auteurs lors de diverses manifestations à Rennes et alentours (voir les dates sur l’image). Bien sûr La Vilaine sera disponible dans plusieurs librairies!

Pour ma part, j’ai contribué à la revue avec trois pages intitulées originellement « Ode tension » mais… rebaptisées par erreur « Pylônes ».

Avant-première La Vilaine

La Vilaine, nouvelle revue rennaise dessinée en bande, fait son avant-première samedi 14 septembre lors du week-end Biergarten du festival I’m From Rennes. J’y serai présent avec d’autres auteurs de la revue pour une séance de dédicaces de 17 à 20h. Et ça se passe au Parc Saint-Cyr à Rennes.

page Facebook de La Vilaine | programme de la journée du Biergarten

Soirée de lancement de « 61 façons… »

Une soirée de lancement de ma bande dessinée 61 façons de tuer personnage de bande dessinée sortie en mai dernier aura lieu le mardi 9 juillet à partir de 21h au Bar à Mines à Rennes. Dans l’ambiance conviviale de ce lieu, vous pourrez boire un verre, vous faire dédicacer votre exemplaire et découvrir les autres productions des Editions Polystyrène.

Curriculum frisé

Comme chaque année à cette période, j’ai remanié et remanié mon CV. Au fil d’un certain nombre de démarches ces derniers mois, je me suis rendu compte que personne ne comprenait bien mon parcours ni ma situation. J’ai donc tenté cette fois de rendre la chose visuelle avec une frise chronologique. Je ne sais pas si le résultat est réussi du point de vue de la clarté, mais il est très parlant pour autre chose: il illustre tout à fait la complexité et la galère dans laquelle se trouvent les doctorants non financés et les docteurs sans poste dont j’ai déjà parlé ici et .

Sortie de 61 façons de tuer un personnage de bande dessinée

Ca y est ! C’est aujourd’hui même que sort en librairie 61 façons de tuer un personnage de bande dessinée édité par Polystyrène. Vous pouvez donc maintenant le demander à votre libraire préféré !

Pour ceux que ça intéresse, j’ai listé sur cette page tous les liens vers les billets de blog que j’avais consacré à la réalisation de ce livre. Pour les rennais : une soirée de lancement est envisagée. Suivez-moi sur Twitter ou sur mon blog pour être tenu au courant.

Je vous souhaite une lecture particulièrement sadique !

Trois autres semaines dans ma vie de docteur sans poste

Ce post fait suite à Trois semaines dans ma vie de docteur sans poste.

Après une période de très grosse fatigue et de difficultés d’organisation en janvier-février, je me suis dis qu’il serait intéressant de faire un second graphique pour identifier ce qui avait rompu l’équilibre délicat de novembre. Cette infographie illustre trois semaines en février-mars.

D’abord, mes activités ne sont pas les mêmes ce semestre, puisque l’enseignement prend le pas sur la création. On note une plus grande amplitude horaire et des journées sensiblement plus chargées en raison de mon travail alimentaire (voir notamment le 3è jeudi avec le cumul de 4h d’enseignement le matin et une très longue vacation de près 6h de transport l’après-midi). Les horaires de mon travail alimentaire sont bien plus irréguliers qu’en novembre (voir les variations à l’embauche l’après-midi) alors que les contraintes de mes enseignements sont fixes et ne justifient donc pas ces irrégularités (présentiel devant les étudiants le mardi et jeudi matin). Mais la plus grosse difficulté n’est pas bien rendue par le graphique: l’imprévisibilité. En février, les changements soudain de créneaux de transports sont fréquents. C’est-à-dire que d’une semaine à l’autre, je ne peux pas du tout anticiper mon programme pour un même jour de la semaine (voir les mercredi). Bien souvent je me retrouve à devoir reporter du travail que j’avais prévu de faire tel jour à telle heure car j’ai une vacation inattendue à effectuer (informé la veille à 18h30), ou alors je me retrouve pris au dépourvu, n’ayant pas de vacation comme je m’y attendais et n’ayant pas anticipé de travail particulier à faire.

Cet exemple est bien sûr tout personnel. Pour autant, au-delà de la précarité dans l’enseignement supérieur et dans l’emploi, il me semble mettre en avant les difficultés pratiques que l’on peut rencontrer quand on cumule plusieurs activités professionnelles, et encore plus quand certaines se font en grande partie chez soi et sans horaires fixes (création, préparation de cours…) Il est alors difficile de justifier à son employeur « alimentaire » de refuser certains horaires, on ne s’y sent pas légitime. Et on se sent par-dessus tout terriblement corvéable…

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