L’esthète et l’enfant (pages 8 et 9/12)
L’esthète et l’enfant (pages 6 et 7 /12)
Colloque de Recherche en Arts Séquentiels, Montréal
J’interviendrai dans le Colloque de Recherche en Arts Séquentiels le jeudi 30 mai à Montréal, Québec. Le thème de ce colloque est « Au sens figuré: esthésie et bande dessinée ». Ma communication quant à elle s’intitule (encore provisoirement) « L’oeil, la main et l’ordinateur: manipulation et perception dans le récit dessiné interactif ».
Toutes les informations concernant ce colloque ici.
L’esthète et l’enfant (pages 4 et 5 /12)
L’esthète et l’enfant (page 3/12)
L’esthète et l’enfant (pages 1 et 2 /12)
Seconde version de l’histoire destinée à Gorgonzola n°18, également refusée.
Interview sur le blog de la librairie numérique Sans papier
Bonjour lecteur,
avant de lire l’interview, tu es invité à expérimenter la bande-dessinée interactive d’Anthony Rageul, « Prise de tête » .
– Votre proposition concernant la BD interactive est la suivante : « une réduction maximale du récit et du graphisme, et donc un flirt avec la frontière de la bande dessinée interactive, permettra d’utiliser l’interactivité de manière expressive et sémantiquement riche, en lui donnant alors une grande place dans la narration, la construction du récit et du sens ». Autrement dit, un environnement minimaliste agit comme une contrainte génératrice permettant que chaque interaction ne soit pas accessoire, et produise du sens. Pouvez-vous nous en dire plus sur cette idée, et sur sa genèse ?
C’est moins une proposition pour la bande dessinée numérique qu’une méthodologie de travail employée alors dans le cadre de mon Master. L’idée était de voir si des dispositifs interactifs pouvaient, comme je le pensais, faire sens. Et pour cela, j’ai pensé que, peut-être fallait-il que « le reste » ne soit déjà pas trop chargé sémantiquement, de manière à laisser une plus grande place aux dispositifs interactifs, à me laisser une plus grande marge de manœuvre dans l’emploi de ces dispositifs. Cela avait aussi deux autres buts…
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Glitch Machine
Pour aider un de mes étudiants, j’ai bricolé un programme en Actionscript 2 (on a que Flash MX à la fac, ça ne nous rajeunit pas!) qui simule automatiquement un effet de tearing sur n’importe quelle image. « Simule » car le but du jeu, c’était de pouvoir contrôler l’effet. On peut donc paramétrer l’emplacement de la zone à glitcher, l’épaisseur des « lignes », l’amplitude et la vitesse des mouvements. Fonctionne aussi avec des vidéos si elles sont très lègères.
Chronique sur Du9: Une scène dans l’ombre, de Nicolas Auffray
«Comment peut-on faire quotidiennement de la bande dessinée depuis une quinzaine d’années sans en gagner sa vie ?» Et surtout, sans obtenir la reconnaissance, et même simplement accéder à la connaissance, du milieu culturel et du public de sa propre ville ? Cette situation des auteurs rennais contraste avec leur vitalité créative. Visiblement taraudé par ce paradoxe, Nicolas Auffray a décidé de consacrer un reportage à cette «scène dans l’ombre», aujourd’hui publié dans ce petit ouvrage. Multipliant les anecdotes, il en livre ce qu’il convient d’appeler une histoire, pas loin d’être exhaustive. Il a recueilli pour cela les témoignages de tous les acteurs qui, de l’intérieur ou de loin, ont observé ou contribué à l’émergence et l’activité de cette scène.
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