Je serai en dédicace pour La Vilaine n°3 ce samedi à 14h à la librairie Critic de Rennes.

Je serai en dédicace pour La Vilaine n°3 ce samedi à 14h à la librairie Critic de Rennes.
Je serai présent vendredi à Saint-Malo au festival Quai des Bulles, notamment sur le stand de La Vilaine pour la sortie du n°3 auquel j’ai l’honneur de contribuer. Une exposition collective de La Vilaine est également au programme!
Dans la foulée du colloque de Lausanne aura lieu la journée d’étude « Repenser la notion de style dans les pratiques artistiques contemporaines à l’ère numérique » que j’ai le plaisir de codiriger avec Athina Masoura. La journée se déroule le lundi 25 octobre à l’Université Toulouse Jean Jaurès. Nous y accueillons huit intervenants et invitons l’artiste-chercheur Samuel Bianchini.
>> Lire le programme <<
J’interviendrai dans le colloque Formes narratives et supports médiatiques (II): « Transferts, reconfigurations et transition numérique dans la bande dessinée », à Lausanne du 21 au 23 octobre prochains. L’événement promet d’être mémorable, réunissant une bonne partie des chercheurs qui consacrent tout ou partie de leurs travaux à la bande dessinée numérique.
Je donnerai pour ma part une communication intitulée « Vers une bande dessinée numérique post-interface? » le vendredi matin et participerai à une table ronde en compagnie de Yannis La Macchia et Lisa Mandel le samedi.
Ci-dessous le programme du colloque.
A l’approche de la sortie de La Vilaine n°3, il est temps de mettre en ligne ce bref récit paru dans La Vilaine n°1 en 2019 sous le titre Pylones.
C’est aujourd’hui que démarre la campagne de financement participatif pour le troisième numéro de La Vilaine à paraître en octobre! Comme d’habitude, plusieurs goodies sont proposés par palier. Pour contribuer, c’est par ici: https://fr.ulule.com/la-vilaine-3/
On continue décidément dans la série des annonces liées à mon activité scientifique, puisque c’est aujourd’hui que sort le dernier numéro de la revue Belphégor, Littératures populaires et cultures médiatiques, qui publie une partie des actes d’un colloque auquel j’avais participé en 2018. Il résulte de cette communication un article qui contribue à sa façon à alimenter les réflexions en cours un peu partout sur les méthodologies de recherche et d’évaluation en arts plastiques: « La méthode de recherche-création en Arts plastiques: prescription, prospective et mise à l’épreuve de l’objet ». Cliquez sur les liens dans le texte pour accéder aux ressources; résumé de l’article ci-dessous:
La méthode de recherche-création propre aux arts plastiques place l’universitaire dans une position atypique : celle de chercheur-artiste, impliqué lui-même dans la construction de l’objet qu’il se propose d’étudier. Si on peut justifier cette méthode en faisant des analogies entre la démarche scientifique et le processus de création de l’artiste (Toulouse 2012), cela n’est pas sans poser problème en pratique. Ainsi, si les arts numériques et technologiques notamment ont permis d’établir des partenariats institutionnels associant création et ingénierie, il apparaît que la partie création reste souvent la plus difficile à valoriser (Fourmentraux 2011). Je discute ici des apports et des écueils ou difficultés de cette méthode dans ma propre thèse portant sur la bande dessinée numérique (2014). Pour cela, je la mets en perspective avec trois thèses qui ont été soutenues sur cet objet entre 2010 et 2016 dans différents champs disciplinaires. Cette étude comparative met en lumière trois démarches plus spécifiques à la recherche-création : prescription, prospective et mise à l’épreuve de l’objet.
Reçu aujourd’hui: Littératures, performances & technologies, vingt-deuxième numéro de Formules, revue des créations formelles, dirigé par Lucile Haute et Alain Deneuville. Très bel objet qui, au-delà de sa thématique, devrait faire date dans les travaux sur la recherche-création, puisque les contributions prennent les formes les plus variées, interrogeant par l’expérimentation les modalités de publication et d’évaluation de la recherche en art. J’y contribue de façon très classique pour ma part, avec un article académique intitulé « Contraintes de création et émergence de « modes performatifs de création » dans la pratique du récit-interface », dont voici le résumé:
Ma pratique du récit-interface – locution qui désigne différentes manifestations du récit numérique – semble avoir une certaine propension à me conduire à des réalisations et des activités qui possèdent un caractère performatif. Je constate ce phénomène dans au moins quatre de mes productions ou activités depuis 2011. Suivant une méthodologie de recherche-création, cet article a pour objectif d’opérer un retour sur trois d’entre elles et d’analyser plus précisément sous quelles formes et modalités se manifeste leur caractère performatif. Ces analyses mettent en évidence l’émergence de « modes performatifs de création » articulés à l’emploi de contraintes de création. Ces modes impliquent de mettre en perspective ou de réévaluer un certain nombre de notions travaillées par la création de récit-interface telles que, entre autres, l’improvisation ou le jeu.